L’air est immobile transparent, la tige de blé fragile, et pourtant, en moissons d’été, la boucle se perpétue.Les champs de blés s’étirent à perte de vue…à perte de vue. La mer de céréales blonde ondule de collines en collines tandis que les grillons cachés stridulent l’âme câline. Le temps se détend, effiloche les peurs.

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